Qui suis-je ?

Yolhan Niveau, photographe, vidéaste, télépilote

Présentation de Yolhan Niveau :

Je m’appelle Yolhan Niveau, je suis né le 30 janvier 1998 à Amilly, dans la région Centre. Nous allons passer chronologiquement rapidement les quelques détails qui font de moi ce que je suis :

J’ai mon brevet, un bac littéraire, en sortant du lycée Dessaignes à Blois, j’entreprends des études dans l’histoire dans laquelle je pensais avoir des attaches, ce qui n’a pas été le cas très rapidement, l’université des Tanneurs à Tours m’a montré un monde différent de ce que je pensais être celui des études supérieures. Mais je me dis que c’est certainement l’histoire qui ne me plait pas, je découvre alors la licence Breton.

Parcours universitaire et professionnel :


C’est assez farfelu comme idée, surtout quand on se penche sur les opportunités futures d’une licence sur une langue en déclin, mais cela m’amuse, et il ne m’en faut pas plus. Hélas, même si je trouve la licence plus intéressante que celle d’histoire, c’est réellement le système éducatif que je n’arrive pas à digérer. Cela fait des années que c’est le cas, ce n’est pas une nouveauté, mais malgré cela, un sentiment d’échec évolue et prend une place insondable dans mon esprit.

Je m’égare, je décide de commencer à travailler pour payer mes loyers, mon permis de conduire que je rate plusieurs fois, augmentant graduellement mes doutes sur mes capacités et sur ma confiance en moi. Mais lorsque que je travaille pour la première fois dans le fast-food Mcdonald’s, étonnement, je reprends confiance en moi.

Petit à petit, je me redéveloppe, je me reconstruis, et mes salaires me permettent de vivre convenablement. J’obtiens mon permis de conduire au troisième essai et je décide de m’acheter mon premier appareil photo : Un Olympus EM10 Mark II. J’apprécie énormément cet appareil et sa prise en main, ce boitier élégant se montre être une clef à une porte qui s’ouvre.

La photographie, le balbutiement :

J’apprends la photographie dans mon coin, dans un premier temps, je m’entraine sur les fleurs, ensuite, je lis quelques bouquins sur la photographie de paysage, puis je regarde des vidéos de Morten Hilmer et les photos d’Eric Deschamps Nature qui me font très rapidement aimer la photographie animalière.

Évidemment, à mon échelle la photographie animalière s’arrête à l’ornithologie, c’est un art qui se présente plus facile à la photographie animalière amateur, mais au moins, cela me permet de développer une sensibilité sur la nature qui s’était enfouie les quelques années passées et de m’entrainer à la prise en main de mon boitier.

Mais au final, ce boitier ne me suffit pas, la photographie au 150mm, ce n’est pas des plus simples. Je décide donc d’acheter mon premier Nikon, le Nikon Z50, encore un petit boitier hybride sur lequel j’attache mon Tamron G2 150-600mm et là, c’est la passion.

Je comprends que je tiens dans mes mains ce que je veux toujours faire, et cela n’est pas si anodin, car c’est depuis mes 13 ans que je souhaite avoir un appareil photo, est-ce que plus jeune, je ressentais déjà instinctivement une accroche sur la photographie ? Oui, c’est certain, mais j’ignorais que ce serait si fort.

On peut le dire, je suis un homme heureux, travaillant à l’usine, je décide rapidement de me pencher sur des opportunités qui vont dans le sens de la photographie, terminant ma mission intérimaire le 03 octobre 2021, c’est le 04 octobre 2021 que j’adhère à la formation télépilotage de drone au GRETA de Rennes. J’obtiens mon permis de drone le 04 décembre 2021 et en 2022 je décide de partir pour le Morbihan afin de me rapprocher de ma famille et des endroits animaliers plus prospères.

J’enchaine les petits boulots, un devis par-ci, un devis par là, j’obtiens mon plus gros devis avec le Camping Merendella en juillet 2022, annonciateur de changement. (Toutes mes photographies à ce jour sont sur mon portfolio)

La traversée du désert et la communication

J’en fais des tonnes pour le storytelling. Mais au final, l’idée est bien là, même si je décroche un devis qui me permet de vivre convenablement pendant plusieurs mois, c’est en décembre 2022 que le contrat s’arrête et que le chômage reprend le contrôle de ma vie. Habitant chez mes parents, il est néanmoins plus facile pour moi de tenir un cap et de continuer à performer la photographie.

Puis, juin 2023, rebelotte ! Il est temps de retourner en Corse pour faire des photographies et des vidéos pour le Camping Merendella, j’engage également une alternance dans le monde la communication avec l’ISME de Vannes que j’intègre en octobre 2023 pour une année entière à apprendre le monde du marketing et de la communication numérique.

J’adore ça, en sortant de mon bac littéraire, je voulais déjà être community manager (comme quoi, il faut vraiment écouter son cœur) et l’année se passe réellement bien, je n’ai pas de difficulté à montrer mes capacités et mon expérience des dernières années prouvent que je ne suis pas le bon à rien que je pensais être. Et là, c’est le drame !

Je ne m’épanouis pas dans la première entreprise avec laquelle je fais mon alternance, je n’ai pas honte de dire que mes compétences sont freinées, que mon potentiel est diminué à faire le petit boulot. Alors que je développe des outils dans mon coin, je me rends compte que je ne tiendrai pas une année entière à faire des missions récurrentes quand je peux être utile dans d’autres missions. Je décide donc de quitter ma première entreprise et j’entame des négociations avec le Camping Merendella.

Cela tombe très bien, c’est le moment de développer la communication pour eux aussi… (Pour voir les photographies du Camping Merendella, c’est par ici)

Au présent, la photographie, le site internet et…
Jeune chevrette se tenant debout dans une prairie, démontrant son éveil et curiosité. Faune et nature en parfaite harmonie.

Mars 2024, je commence mon travail en tant que Social Media Marketer en alternance pour le Camping Merendella, et sincèrement, ça me plait beaucoup. Je continue à travailler ma photographie, et nous allons pouvoir commencer à parler au présent. Aujourd’hui, je travaille pour eux, à la fin de mon alternance, j’entamerai un contrat avec eux pour développer leur communication et celle des autres entreprises sous-jacentes. Je construis mon site internet et j’écris cette page, car il me tient à cœur de montrer qu’avec la résilience et l’écoute de ses sentiments, l’on peut progresser dans des voies artistiques pleines d’embuches.

Mais, ce n’est pas tout, d’autres projets voient le jour, aujourd’hui c’est le site internet, mais demain, qu’est-ce que je bricole ? Vous le saurez bientôt.

Et vous pourrez le découvrir sur mes réseaux sociaux :